Myles Allen has done a book review in Nature

http://www.climateprediction.net/science/pubs/nature_StateOfFear.pdf

New items don't seem to be advertised clearly on this site, I found it from another site. Still perhaps not too suprising given the timing of this item.

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whew just in time, the Republicans in my family were using this latest Crichton book (a fictional work no less) as "proof" that climate change and CPDN is "junk science!" :-)

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Hannah posted a link to this on the php board just before they took it down - sorry I should have posted it on here :(

Marj

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HarperCollins do publish some rubbish. But not everyone is taken in, not all the people who just want an exciting, fast read - see the book reviews of State of Fear on Amazon. These readers see the book's scenario as too far-fetched to allow the usual suspension of disbelief.

But Miles is right, that for people who already think of environmentalists as 'activists', a term they use pejoratively, this book provides fuel for their arguments.

I like Arthur C Clarke's sci-fi because it combines solid science with fantastic stories.

I now need a big dose of reality reading, so I'm going for the new volume of The Celestine Prophecy.

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There are also a couple of in-depth articles on realclimate.org (<a href="http://www.realclimate.org/index.php?p=74">here</a> and <a href="http://www.realclimate.org/index.php?p=76">here</a>).

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"The ultimate test of a moral society is the kind of world that it leaves to its children." - Dietrich Bonhoeffer

29/01/2005 - 09:16
WASHINGTON, 29 jan (AFP)
Un best-seller enflamme le débat sur le réchauffement climatique


Dans son dernier best-seller, le romancier américain Michael Crichton, auteur de "Jurassic Park", met en doute la réalité du réchauffement climatique, attisant ainsi la controverse sur cette question qui divise les scientifiques et la classe politique.


Pavé de 600 pages, "State of Fear" ("Etat de peur") est déjà bien placé sur la liste des best-sellers aux Etats-Unis un mois après sa sortie. Ce "techno-thriller" occupe aussi une place inhabituelle, pour un ouvrage de fiction, dans les débats.


Offrant tous les ingrédients du genre (action, suspense...) "State of Fear" innove en donnant le rôle du "méchant" à une organisation écologiste qui dérive vers le terrorisme. Elle planifie des catastrophes naturelles, comme un tsunami ou le décrochage d'un iceberg géant de l'Antarctique, pour convaincre l'opinion publique de la réalité du réchauffement de la Terre et lever ainsi davantage de fonds.


Un juriste, Peter Evans, devient le héros "malgré lui" de l'intrigue en s'engageant dans une lutte sans merci contre ces écologistes extrémistes pour les empêcher de mener à bien leur sombre dessein.


Fait inhabituel pour un roman policier, "State of Fear" est truffé de notes de bas de page et de graphiques offrant des explications scientifiques au lecteur.


Le livre comporte même un appendice dans lequel Michael Crichton justifie sa position. "Personne ne sait si la tendance au réchauffement est un véritable phénomène naturel. Personne ne sait jusqu'à quel point elle est liée à l'activité humaine. Personne ne sait si le réchauffement va se poursuivre au siècle prochain", écrit-il notamment.


Bien que l'auteur en réfute l'idée, affirmant n'avoir pas "d'agenda", une telle position concorde avec celle, attentiste, des défenseurs de la politique de l'administration de George W. Bush, qui a refusé de ratifier le protocole de Kyoto visant à lutter contre le réchauffement climatique.


Un sénateur républicain, James Inhofe, a ainsi jugé que "State of Fear" écrivait "la véritable histoire" du changement climatique. L'influent éditorialiste George Will s'est également félicité que des "millions de lecteurs" allaient désormais considérer avec un "scepticisme" aiguisé les annonces de catastrophes annoncées.


Invité à s'exprimer vendredi devant un institut de recherche de Washington, où il a fait salle comble, Michael Crichton s'est déclaré "très troublé" par ce qu'il avait "constaté" durant les trois années de recherche consacrées à son livre. Il a notamment regretté que la science soit trop souvent "manipulée pour des motivations politiques", que les études soient acceptées sans vérification et que les médias privilégient l'alarmisme.


Sans surprise, des scientifiques sont montés au créneau pour dénoncer ces thèses. "Comme le film +Le Jour d'après+ (sorti en 2004), ce roman évoque des questions et des controverses scientifiques réelles, mais il se montre tout aussi sélectif (et parfois erroné) sur la science de base", regrette Gavin Schmidt, du Goddard Institute, sur le site Realclimate, établi par des spécialistes du climat. D'autres scientifiques, dont certains ont été consultés par Crichton, l'accusent d'avoir déformé leurs recherches pour créer de "la science fiction".


En assurant la publicité du livre, la controverse devrait encore renforcer la notoriété, et la fortune, du créateur de la série télévisée Urgence et de best-sellers traduits en 30 langues et vendus à plus de 100 millions d'exemplaires à travers le monde.

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A critique of State of Fear from Agence France-Presse. It points out that the good Senator Inhofe considered that the book told the true story of climate change.

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&gt;the true story of climate change
Just like the bible tells the true story of the history of the universe. In both cases a bit of evidence would be a nice thing.
The difference being that Crichton's book is labelled fiction.

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